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Promouvoir, réaliser et diffuser des recherches à caractère théorique et appliqué en matière de résilience
L’Association internationale pour la promotion et la diffusion de la recherche sur la résilience (Résilio) est une association avec trois (03) principaux objectifs:
Promouvoir, réaliser et diffuser des recherches à caractère théorique et appliqué en matière de résilience
Contribuer à la formation universitaire et postuniversitaire dans ce domaine
Encourager la collaboration entre universitaires, chercheurs et praticiens de différents pays, impliqués dans le champ de la résilience.
L’Association internationale pour la promotion et la diffusion de la recherche sur la résilience (Résilio) est une association créée pour la promotion et la diffusion des savoirs sur la résilience. Cette association se veut pluridisciplinaire, accueillant des professionnels et chercheurs de tout bord autour du concept de résilience.
Résilio organise périodiquement des colloques, des symposiums, des congrès, des ateliers sur la résilience.
Résilio soutient des initiatives de recherche et des publications sur résilience.
Résilio développe et soutient des programmes de formation sur la résilience.
Reslio, c’est quatre (04) congrès mondiaux sur la résilience, des publications sur la résilience contribuant à l’amélioration des pratiques fondées sur la résilience. Resilio c’est aussi l’accompagnement des étudiants impliqués dans la recherche sur la résilience. Resilio ce sont des experts de différentes disciplines, tous réunis autour de la résilience et de sa promotion.
Depuis 2012, des chercheurs du monde entier qui s’intéressent aux problématiques de résilience se rencontrent tous les deux ans pour diffuser et discuter leurs résultats de recherche. Le 1er congrès s’est déroulé à Paris, en France, avec pour thème : « De la recherche à la pratique ». Le second s’est tenu en 2014 à Timisoara, en Roumanie, sous la thématique « De la personne à la société ». Le 3e congrès a eu lieu en 2016, à Trois-Rivières, au Québec – Canada sur le thème : « Résilience et culture, Culture de la résilience ». La dernière édition s’est passée en 2018 à Marseille, en France sous la thématique « Pratiques basées sur la résilience ». Chacune de ces rencontres mondiales a mobilisé des centaines de chercheurs provenant de tous les continents.
Ce congrès, à la suite des précédents, ambitionne de rassembler plus de 1000 chercheurs de la plupart des domaines disciplinaires qui étudient la résilience : Sciences humaines, Sciences de la Santé, Sciences environnementales, Sciences économiques et politiques, Génies.
Programme du 4e congrès
Programme du 3e congrès
Programme du 2e congrès
Programme du 1er congrès
PARTICIPANTS
SOUS-THEMATIQUES
SESSIONS
INTERVENANTS
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Promouvoir, réaliser et diffuser des recherches à caractère théorique et appliqué en matière de résilience
La mise en perspective à la fois de l’écologie et du développement durable, en lien avec la résilience, s’intéressera aux relations des individus et des sociétés avec leur environnement, à leurs capacités et leurs moyens d’anticipation et de prévention des risques relatifs à ce dernier. Les réflexions peuvent se mener aussi bien sur le dispositif politique, les savoirs et savoir-faire populaires en vue de la préservation à long terme de l’écosystème.
Solange Yebga
Les organisations (entreprises, associations, groupes de projet, etc.) sont parfois soumises à des perturbations ou des crises qu’elles doivent surmonter afin de poursuivre leur développement ou de se transformer. Afin de transformer ces crises en occasions de croissance durable, elles doivent mobiliser des facteurs de protection et s’engager dans un processus de résilience.
Bernard Michallet
Benoit Pigé
Dans un contexte de recherche ou clinique, l’utilisation de différentes méthodes d’évaluation de la résilience sont disponibles et permettent d’évaluer la résilience sous différents angles, d’orienter les interventions vers les facteurs modifiables et d’évaluer les effets de nos interventions auprès de populations de différents âges.
Anouchka Hamelin
Les perturbations globales comme les changements climatiques et les pertes de biodiversité affectent la vie des populations directement et/ou indirectement via les écosystèmes fournissant des biens et services utiles à l’humanité. La vulnérabilité et la résilience des écosystèmes et/ou des populations est tributaire de plusieurs aspects aux échelles locaux, nationaux et internationaux de la part des acteurs individuels/collectifs privés/étatiques. Les contributions à cette sous-thématique concernent les fragilités et les résiliences liées de prêt ou de loin aux considérations écologiques et/ou de développement durable.
Denis Sonwa
Les actions visant une éducation favorisant la résilience auprès des populations ou auprès de clientèles spécifiques permettent de développer les compétences de la personne, des familles et des environnements. Ces actions d’éducation à la résilience constituent une piste pour favoriser un développement humain durable.
Colette Jourdan-Ionescu
Le développement durable peut être considéré comme un processus et/ou le résultat d’une interaction continuelle des interventions individuelles, communautaires et sociétales qui visent l’exploitation et la préservation des ressources de l’écosystème pour les générations actuelles et futures. Cette sous thématique s’intéresse aux travaux de recherche et aux expériences qui contribuent au développement durable.
Bili Douti – Etienne Kimessoukié
Il s’agit des actions qui se fondent sur le développement des potentialités et impliquent l’utilisation d’une stratégie d’intervention de type maïeutique. Les méthodes de résilience assistée qui se déploient auprès de personnes ou de groupes en raison de traumatismes, de situations d’adversité chronique ou de violence seront regroupées dans cette thématique.
Francine Julien-Gauthier – Bernard Michallet
Les migrations sont des déplacements volontaires ou forcés des populations d’une région, d’un état ou d’un pays à un autre pour s’y établir temporairement ou définitivement pour diverses raisons. Ces mouvements de populations influencent, positivement ou négativement, le développement durable des écosystèmes d’origine et/ou d’accueil des migrants. Cette thématique questionne l’interaction entre migration et développement durable, ainsi que les lois qui gouvernent les phénomènes migratoires humains.
Tchaptchet Mathilde – Etienne Kimessoukié
Le monde actuel est caractérisé par une diversité de situations et de contraintes qui mettent en mouvement des exigences dans plusieurs domaines de la vie : économiques, sociaux, culturels et environnementaux. Cette réalité, bien que complexe, peut être analysée et considérée dans une certaine mesure comme une possibilité de dépassement de soi et de création dans une perspective de résilience. Comment les gens saisissent-ils ces multiples situations comme opportunité de résilience ? Cette sous-thématique permettra de présenter des résultats de recherche ou de réflexions sur le vécu expérientiel des individus ou des pratiques qui mettent en exergue des opportunités de résilience.
Benjamin Alexandre Nkoum
Toutes les actions conduites – dans et hors de l’école – pour développer la résilience des élèves à risque (enfants avec difficultés scolaires, avec handicap, aux prises avec une maladie physique ou un trouble de santé mentale, vivant un contexte de déplacement ou réfugiés, etc.) peuvent être décrites dans le cadre de cette thématique.
Colette Jourdan-Ionescu
Au cours de leur vie, les individus et les populations font face à des situations d’adversité qui menacent leur santé physique ou psychologique. Face à celles-ci, ils mettent en œuvre, ou non, des stratégies leur permettant de s’inscrire dans un processus de résilience, c’est-à-dire de faire face, et de surmonter ces situations d’adversité afin de poursuivre au mieux leur développement.
Bernard Michallet
La place de la créativité dans le processus résilient est tout autant à explorer du côté de l’artiste qui, par lui-même, trouve dans l’art une voie de salut, que de celui du thérapeute (ou tuteur de résilience) qui appuie sa pratique sur une médiation artistique.
Evelyne Bouteyre
Cette thématique réfère au développement ou à l’expression de la résilience des personnes impliquées dans une situation de catastrophe. Elle concerne aussi les acteurs de la relation d’aide (les ONG, par exemple), l’environnement urbain et rural, les infrastructures dont dépendent les populations touchées et, potentiellement, l’intégralité du pays concerné.
Evelyne Bouteyre
Le développement et la résilience sont des propriétés substantielles des systèmes complexes adaptatifs. Cette thématique questionne les facteurs, les processus, les modèles, les lois ou la communalité de la durabilité de la résilience de ces systèmes dans une approche pluri ou transdisciplinaire.
Etienne Kimessoukié
Le fait de maltraiter quelqu’un dans la famille, la société » définit la maltraitance. Ses expressions sont multiples. Qu’il s’agisse d’abus physiques ou sexuels, de négligences graves, de violences psychologiques ou mauvais traitements institutionnels (pour ne citer qu’eux), tous sont à éclairer par le développement ou l’expression de la résilience.
Evelyne Bouteyre
La maladie chronique est une affection de longue durée qui, au-delà des soins, des autosoins et de l’adaptation, requiert la résilience pour un mieux vivre. Quels modèles théoriques, quels outils d’évaluations, et quelles interventions soutiendraient la résilience des individus, des familles et des communautés confrontées à l’adversité des maladies chroniques. Quel modèle de santé communautaire permettrait de prévenir l’accroissement de la prévalence des maladies chroniques et de renforcer la résilience des populations.
Yvan Njinzeu – Etienne Kimessoukié
Les organisations évoluent de plus en plus dans un contexte où le rythme des turbulences et des chocs s’accélère. Dans ce cadre, plusieurs questions se posent : comment préparer une organisation à rebondir face aux turbulences ? Comment créer les conditions nécessaires pour l’émergence de la résilience organisationnelle? Comment développer cette forme de résilience, avec quelles ressources? Quels sont les grandes phases du processus de résilience? Comment comprendre et utiliser le cycle de vie du changement? Quels sont les gestes managériaux créateurs de résilience ou quel est le management constructeur de résilience ? Que faire pour que les organisations puissent tirer des bénéfices des changements imposés (et parfois violents) auxquels elles sont soumises? De quels outils de mesure de la résilience des organisations disposons-nous ?
Gilles Teneau – Serban Ionescu
La pandémie du Covid-19 est une crise majeure qui affecte l’humanité toute entière. Elle a profondément perturbé la géopolitique mondiale, les structures socioéconomiques, les modes de vie et de pensée, le rapport des individus à la vie, les fondements existentiels, etc. Elle a également mis la résilience au cœur de toutes les stratégies de riposte, tant au niveau individuel que macro systémique. Quels sont les chocs, les points tournants, les facteurs et processus de résilience mis en œuvre au cours de cette pandémie ?
En plus des sous-thématiques déjà prévues, le Comité scientifique internationale invite les chercheurs de toutes les disciplines qui ont mené des travaux de recherche sur la thématique de la résilience et de la pandémie du Covid-19 à soumettre leurs propositions de communication au plus tard le 31 août 2020.
Il s’agit de chercheurs, de professionnels œuvrant dans les domaines des sciences de l’éducation, des sciences de la santé, de la psychologie, de l’économie, des sciences sociales, des sciences de l’environnement, du génie, de tout domaine, des sciences juridiques. Ces hommes et femmes sont des professeurs titulaires de chaire, des professeurs émérites, des docteurs, des spécialistes, des experts dans leurs domaines respectifs et s’illustrent par de nombreuses publications.
Serban Ionescu, psychiatre et psychologue clinicien. Professeur émérite de psychologie clinique et de psychopathologie à l’Université Paris 8-Saint-Denis et de l’Université du Québec à Trois-Rivières. Il est membre correspondant de l’Académie de médecine de Roumanie et a dirigé l’Institut d’enseignement à distance de l’université Paris 8, l’Institut de psychologie de l’Université Paris Descartes, et le Centre universitaire de consultations de psychologie de l’Université du Québec à Trois-Rivières. Il est le fondateur et Président de l’Association internationale pour la promotion et la diffusion de la recherche sur la résilience. Auteur de plus de 200 publications, dont 31 volumes, parmi lesquels figurent le Traité de résilience assistée (PUF) et Résiliences ressemblances dans la diversité (Odile Jacob). Docteur Honoris Causa des Universités de l’Ouest (Timisoara, Roumanie) et de Liège. Co-président du 4ème congrès mondial sur la résilience.
Thème de la conférence : Mondialisation et résilience
Considérée comme une nouvelle étape dans l’histoire de l’humanité, la mondialisation a, en fait, une longue histoire. Apparu dans la seconde moitié du 20ème siècle, le mot mondialisation fait référence à l’unification de la planète, phénomène conçu aux plans économique, géopolitique et culturel. Les conséquences de la mondialisation sont nombreuses. Il est, donc, important de les analyser et d’étudier la manière dont elles sont vécues aux plans individuel et collectif. Le menaces réelles ou factices générées par la mondialisation peuvent avoir des effets négatifs ou mettre en marche des processus de résilience. Quelle est la spécificité de ces processus? En quoi se différencient-ils des patterns connus, mis en évidence surtout dans les pays occidentaux? Comment élaborer des programmes basés sur la résilience pour prévenir les effets négatifs de la mondialisation? Face au vécu d’adversité que peut engendrer la mondialisation, celle-ci peut-elle créer, comme nous le savons de la clinique, de la croissance post-traumatique? Quelles formes peut prendre cette croissance? Les questions soulevées par un monde de plus en plus globalisé et interdépendant sont nombreuses et la recherche de réponses laisse entrevoir le développement d’un important courant de recherche.
Christine Voiron-Canicio est géographe, professeure à l’Université Nice Côte d’Azur et chercheure au Laboratoire CNRS ESPACE, qu’elle a dirigé de 2007 à 2017. Ses recherches sont axées sur la durabilité urbaine et sur la résilience territoriale. Ses travaux actuels portent sur les impacts des changements environnementaux et sociétaux, lents et brutaux, sur le fonctionnement des territoires, et plus précisément, sur la mesure de la capacité d’adaptation des territoires aux risques prévisibles ou incertains. Sur le plan méthodologique, ses travaux croisent la modélisation spatiale, la géoprospective et la géogouvernance.
Thème de la conférence : Le rôle de la résilience dans la trajectoire vers la durabilité territoriale
Promouvoir le développement durable sur les territoires est désormais un objectif largement partagé. L’enjeu est à présent de parvenir à la durabilité territoriale, c’est-à-dire à un territoire qui optimise son fonctionnement pour satisfaire les attentes des habitants d’aujourd’hui et de demain, et dont le développement se fait en harmonie avec l’Ecosystème ainsi qu’avec les espaces proches ou lointains. La résilience est une des dimensions de la durabilité. Elle est une qualité intrinsèque du système territorial, un potentiel qui lui permet de s’adapter aux aléas actuels, et d’anticiper les inconnues du futur afin de maintenir la trajectoire vers ce projet de territoire idéal, tout en tirant profit des changements qui surviennent en chemin. Notre propos sera d’ordre méthodologique. Nous exposerons la manière de diagnostiquer le potentiel de résilience d’un territoire, et de déceler ses capacités adaptatives différenciées dans l’espace. L’attention sera focalisée d’une part, sur les pressions endogènes évoluant sur le temps long – vieillissement de la population, faible niveau de formation, etc. – qui obèrent les capacités adaptatives du territoire, et d’autre part, sur les aptitudes des acteurs locaux à anticiper les forces de changement, à comprendre leurs impacts, et à agir pour préparer leur territoire à y faire face.
François Bousquet, PhD, HDR, est chercheur sénior au CIRAD, dans le domaine de l’environnement. Ses travaux portent sur la conservation de la biodiversité et la gestion concertée des ressources naturelles et renouvelables. Il appartient au réseau international de recherche Resilience Alliance.
Jean-Emmanuel Pondi est Professeur titulaire et spécialiste en Relations internationales. Il est diplômé, tour à tour, de l’Université d’État de Pennsylvanie aux États-Unis d’Amérique, de la London school of economics en Angleterre et de l’Université de Cambridge en Grande-Bretagne. Il a écrit plusieurs ouvrages dont « Du Zaïre au Congo démocratique, les fondements d’une crise », « L’Onu, vue d’Afrique » et « Thomas Sankara et l’émergence de l’Afrique au 21ème siècle », publié aux Éditions Afric’Éveil et préfacé par la veuve Sankara, Mariam Sankara. Dans ces ouvrages, il s’appesantit sur les atouts et les faiblesses de l’Afrique pour lesquels les Africains, est-il convaincu, sont capables de renverser la vapeur. Il est actuellement Vice-recteur de l’Université de Yaoundé I au Cameroun, en charge de la recherche.
Jean Emmanuel Pondi est Professeur Invité, entre autres, à: l`École des Études Internationales Avancés de l`Université de Johns Hopkins, Washington, D.C. (USA) (1986); au Centre d`Étude Internationales de l`Université de Cambridge, G.B., (1988, 1993-1994); à l`Institut de Hautes Études Internationales de Genève (1994, 2005); à l`Institut des Études Internationales et Diplomatiques de Nairobi, Kenya (1988, 1995, 1998); à l`Institut Chinois des Relations Internationales, Beijing (2001,2004), à l`Académie Diplomatique de Gambie (2004), à l`Académie Diplomatique de Vienne (depuis 2004), Ministère des Affaires étrangères d`Erythrée (2006), Université St Joseph de Beyrouth, Liban (2006), etc…
Vous êtes reconnu pour vos aptitudes à communiquer aisément? On souligne particulièrement vos capacités à vulgariser et à synthétiser un contenu scientifique? Ce concours est pour vous!
Lancement de l’appel à communication (communication orale, par affiche, symposium, atelier, formation pré/post congrès etc.)
Date limite de soumission des résumés.
Date de réponse du Comité scientifique
Date de publication du programme officiel
Date limite de soumission du texte complet
Date limite d’inscription aux tarifs préférentiels
Publication des actes du 5e Congrès
10h -
19h -
8h-9h -
9h-9h30 -
9h30-10h -
10h-10h30 -
10h30-11h -
11h-12h30 - 1h30
12h30-14h - 1h30
14h-14h30 - 30mn
14h30-15h - 30mn
15h-16h30 - 1h30
16h30-17h - 30mn
17h-18h30 - 1h30
19h-20h - 1h
8h-8h30 -
8h30-10h -
10h-10h30 -
10h30-11h -
11h-12h30 -
12h30-14h -
17h-18h30 -
14h-14h30 -
14h30-15h -
15h-16h30 -
16h30-17h -
16h30-17h -
8h-8h30 -
20h-24h -
8h30-10h -
10h-10h30 -
10h30-11h -
11h-12h30 -
12h30-14h -
15h30-16h -
16h-17h -
17h-17h30 -
17h30-18h -
Palais des Congrès,
BP: 1359 Yaoundé - Cameroun
Messa - Yaoundé
1110 Yaoundé – Cameroun